Le kaki, c’est tellement joli…

L’an passé, en guise de billet de bonne année, je vous avais fait un petit topo sur les codes vestimentaires américains dans le monde impitoyable de l’entreprise. Eh bien, un an plus tard, je remets le couvert ! J’ai décidé de vous parler aujourd’hui de mode, et plus précisément de « weekend wear ». Continuer la lecture de Le kaki, c’est tellement joli…

Au Texas, on a la gagne !

Pour fêter mon retour au clavier et mes bonnes résolutions de rentrée, j’ai décidé de vous parler de sport. Rassurez-vous, je ne vais pas vous raconter mes séances de volley avec une horde de G.I. Joe musclés (même si je suis sûre que certain(e)s auraient pu y trouver leur compte). Non, j’ai entrepris aujourd’hui de redorer le blason de notre grand et beau « Lone Star State ».  Car le Texas a des atouts insoupçonnés. Saviez-vous, par exemple, que c’est « The place to be » pour devenir champion olympique ? Continuer la lecture de Au Texas, on a la gagne !

Conjoint d’expat, ça vous tente ?

Attachez vos ceintures, aujourd’hui, ça va décoiffer. On va faire un petit jeu de rôle. J’ai décidé de vous faire vivre le rôle de conjoint d’expat de l’intérieur ! Parce que bon, je sais, il y a des tonnes d’articles déjà écrits sur la question. Mais rien ne vaut une petite mise en situation pour se faire sa propre idée. Continuer la lecture de Conjoint d’expat, ça vous tente ?

Médecine de luxe

Dans le cadre de notre assurance santé, nous avons souscrit à un bilan annuel. Le check-up proposé est complet (prise de sang, tests visuels et auditifs, mammographie, vaccins…) et coûte 200 dollars (autant dire une broutille, au regard des tarifs pratiqués ici). En pratique, Le bilan commence par un questionnaire de santé.  On vous demande votre poids, votre taille, vos antécédents familiaux, bref que des détails classiques, avant d’arriver aux pages « Women’s Health » ou « Men’s Health ». Là, ça devient plus original. Continuer la lecture de Médecine de luxe

Ça marche

En bonne parisienne, j’adore arpenter le pavé. J’aime user mes semelles pour me déplacer. Sauf qu’ici, la marche n’est pas un moyen de transport. C’est une excentricité réservée aux Houstoniens fauchés (de préférence SDF ou étudiants), à quelques écoliers et aux nouveaux arrivants qui se bercent encore d’illusions piétonnières… L’autre jour, j’ai moi-même cédé à la tentation. J’ai voulu traverser un énorme boulevard pour passer d’un supermarché à un autre, sans prendre ma voiture. Continuer la lecture de Ça marche